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Article paru le 26 août 2019
2000 kilomètres à pied pour T1 Diams et le centre Etoile de Mer

Robert Furlong et Dalida Noellis-Furlong s’apprêtent à parcourir 2000 kilomètres à pied d’un bout à l’autre de la partie Nord de l’Espagne, aux profits de l’association T1 Diams et du centre Etoile de Mer. Le temps estimé : 70 jours sur le Camino de Santiago, de Sergovia à Saint Jacques de Compostelle, et retour à St Jean Pied-de-Port en France.

70 jours et 2000 kilomètres à pied ! Robert Furlong et Dalida Noellis-Furlong sont des marcheurs expérimentés. Parce que l’éducation et la santé sont des composantes essentielles du bien-être de chaque individu, ils prennent cette fois la route pour deux organisations : l'association T1 Diams qui s’occupe de patients atteints de diabète de Type 1 et le centre Etoile de Mer, école ZEP (Zone d’Education Prioritaire) engagée dans l’éducation informelle auprès de jeunes issus de milieux vulnérables.

Les deux marcheurs espèrent avoir derrière eux et tout au long de cette traversée, le soutien de généreux donateurs sensibilisés au besoin de fournir aux organisations choisies les ressources financières nécessaires pour qu’elles poursuivent leurs missions respectives. Les dons peuvent se faire à travers un système en ligne accessible au lien suivant : http://www.marcherpourlesenfants.org/

Depuis les dix dernières années, Robert et Dalida ont entrepris ensemble de longues distances à pied, dont un parcours de 950 kilomètres de St Jean Pied-de-Port en France à Saint Jacques de Compostelle au Nord-Ouest de l’Espagne en 2007. Robert Furlong a, à lui seul, été huit fois sur le Chemin de St. Jacques.

Le point de départ de la marche caritative de 2017 a été fixé au 20 juin à Segovia, située à 90 kilomètres de Madrid. De là, direction nord vers la

Article paru le 12 juin 2017
Lilian Eymeric: «Cet exploit n’est rien à côté de ce que vivent les enfants diabétiques»

Lilian Eymeric en compagnie des membres de l’équipage et de son épouse au Caudan Waterfront,
à Port-Louis, mercredi 23 novembre.

Lilian Eymeric est revenu sur son exploit, la traversée entre Maurice et La Réunion, à la nage, lors d’une conférence de presse, au Suffren, à Port-Louis, mercredi 23 novembre. Une distance de 236 km qu’il a effectuée en 51 heures. Un exploit qui, dit-il, a été motivé par l’envie d’aider l’Organisation non-gouvernementale T1 Diams qui s’occupe des enfants diabétiques de Type 1.

«Ces efforts je les ai faits pour ces enfants et cela m’a poussé à me surpasser et à aller jusqu’au bout», confie Lilian Eymeric. L’ancien sapeur-pompier, âgé de 48 ans, est toutefois d’avis que «cet exploit n’est rien à côté de ce que vivent les enfants diabétiques». Conscient que le combat est loin d’être terminé, Lilian Eymeric a mis en vente aux enchères les bracelets anti-requin qu’il a portés tout le long de sa traversée pour récolter des fonds. Les ventes débutent à Rs10 000.

Quels sont les autres équipements utilisés par Lilian Eymeric lors de cette traversée ? Un tuba, un bonnet de bain, une combinaison d’une épaisseur de 3 mm, des chaussons et des lunettes utilisées pour la natation. La traversée a été effectuée  dans une cage reliée à un bateau. «C’était une décision mûrement réfléchie et les autorités étaient au courant de ma traversée. Je voulais le faire tout en donnant une assurance aux enfants», explique-t-il.

Il a, dans la foulée, remercié tout l’équipage qui l’a accompagné pendant toute la traversée dont le médecin. Sans oublier les enfants qui ont cru en lui.

Article paru le 23 novembre 2016
Traversée Maurice-La Réunion à la nage: Lilian Eymeric y est arrivé !

Extrême Trans Océan

Il l'a fait ! Quel bel exploit  ! Après trois jours d'efforts intenses à nager, Lilian Eymeric, l'ancien sapeur-pompier français installé à Maurice, a bouclé sa traversée Maurice-Réunion à la nage ce jeudi peu après 12h40. Un pari fou réalisé par l'homme de 48 ans qui a parcouru 236 kilomètres à la nage pendant trois jours et deux nuits, entre les deux îles sœurs ! Un défi relevé avant tout dans le but de récolter des fonds pour l'association T1 Diams, une association mauricienne qui vient en aide aux enfants de l'île Maurice souffrant de diabète de type 1.


Extrême Trans Océan

Le mardi 15 novembre, Lilian Eymeric a quitté l'île Maurice à 7 heures au Morne pour tenter une aventure unique en parcourant plus de 230 kilomètres à la nage, ralliant Maurice à l'île de la Réunion. Les sacrifices et ses longues heures d'entraînement ont payé pour Lilian Eymeric qui a dû rejoindre le port de plaisance de la Pointe-des-Galets en bateau, à cause de la houle. Mais il a tout de même relevé son défi et peut très bien avoir établi un nouveau record vu qu'il n'a pas touché la cage. Rappelons que le record est détenu par le Croate Veljko Rogosic (225 km) depuis le 31 août 2006 pour sa traversée en mer Adriatique de Grado à Riccione, Italie.


Extrême Trans Océan

A 6 heures ce jeudi matin, il avait parcouru 207 des 236 kilomètres de sa traversée, et nageait depuis 43 heures. Depuis qu'il a atteint les eaux réunionnaises, Lilian Eymeric nageait dans une cage, en raison du risque requin. Aux environs de midi, des secouristes attendent le nageur sur place car très certainement, ce dernier serait très faible et très probablement en hypothermie. Arrivé dans une cage à cause du risque de requin, le sauveteur d'origine française a précisé n'avoir vu aucun squale. En revanche, il a vu beaucoup de dorades coryphères ! A son arrivée, il a passé les formalités de douane et les formalités sanitaires. Un comité d'accueil était également présent. On lui a même tendu une bouteille de champagne, qu'il a promis d'ouvrir plus tard.


Extrême Trans Océan

A 13 heures ce jeudi après-midi, après avoir rejoint le port en bateau, ses premiers mots ont été pour l'association qu'il défend. «Je suis content d'avoir réussi, pour les enfants. Dès que j'avais un coup de mou, je pensais à tous ces gens que je ne voulais pas décevoir», a-t-il lâché, laissant échapper des larmes. Il a avoué avoir eu très froid lors de sa traversée et être très fatigué après ce périple de 236 kilomètres.

 

Article paru le 17 novembre 2016
Traversée Maurice-Réunion - Eymeric: «Je souffrirai 70h pour les petits diabétiques !»

Lilian Eymeric tentera de battre le record du monde de 225 km en faisant la traversée
Maurice-Réunion à la nage.

Lilian Eymeric, sauveteur de 48 ans, a à cœur d’aider les jeunes diabétiques. Pour eux, il tentera - du 12 au 14 novembre - de battre un record du monde, en faisant la traversée Maurice-Réunion, sans interruption !


Originaire de France, Lilian Eymeric vit à Maurice depuis 3 ans.

Vous avez été sapeur-pompier en France. Vous êtes aujourd’hui sauveteur à Maurice. Faire cette traversée, qu’est-ce que cela représente pour vous ?
Je le vois comme un défi. J’aurai dans la tête tous les petits diabétiques qui m’attendent au bout. Je garderai cette image pour m’aider à faire cette traversée ; c’est ce qui me motive. Faire cette traversée, c’est tendre la main à ceux qui en ont besoin.

 

De souffrir durant le trajet ne vous décourage pas ?  
Ces enfants, qui sont au nombre de 250 à peu près et qui ont entre 2 et 18 ans, souffrent toute l’année. Mais moi, je ne souffrirai que pendant 70 heures. La remontée de fonds, résultant de la traversée, se fera au profit de ces enfants qui ‘se piquent’ à l’insuline. Or, les doses d’insuline sont très chères. C’est pourquoi je ne peux pas les décevoir, je ne peux pas m’arrêter durant la traversée.

 

Deux ans environ après votre tour de l’île à la nage, comment avez-vous eu l’idée de faire la traversée Maurice-Réunion ?
Le 14 novembre, c’est la journée internationale du diabète. Dans ce contexte, le président de Ti diams, association qui œuvre pour les petits diabétiques, est venu me demander si on ne pouvait pas faire quelque chose en ce sens. J’ai alors pensé à un nouveau défi : faire Maurice-Réunion à la nage. À la Réunion, l’association REUNIR collectera les dons à travers ce challenge

et reversera tout à T1 diams.

 

Vous employez souvent le mot défi. Ce sera si difficile que cela ?
Il y a deux ans, j’ai fait le tour de l’île à la nage en nageant 177 kilomètres. Mais cette fois-ci ce sera très difficile et compliqué. Il s’agira maintenant, pour moi, de couvrir 236 kilomètres de Maurice jusqu’à la Réunion. La difficulté ce sera le temps passé dans l’eau. Estimé environ à 60-70 heures : soit deux jours et demi, deux nuits sans sommeil et sûrement des risques d’hypothermie.

 

Nager non-stop 236 kilomètres sera-t-il un exploit ?
Si j’y arrive, je battrai le record du monde qui est de 225 kilomètres et qui est détenu par le Croate Veljko Rogosic. (NdlR : cela s’est fait en mer Adriatique de Grado à Riccione, Italie, du 29 au 31 août, sans interruption). Certes, je fais la traversée pour battre le record du monde. Même si ce n’était pas prévu au début...

 

Personne n’a jamais fait ce trajet à la nage ?
Ce trajet a déjà été fait en kitesurf mais jamais à la nage. En consultant la trajectoire sur Google map ainsi que les cartes maritimes, on s’est aperçu que si je m’arrêtais à Saint-Denis de la Réunion, je ne battrais pas le record du monde. C’est pour cela que je longerai la côte de St-Denis jusqu’au Lux* St-Gilles à St-Gilles.

 

N’y a-t-il pas le risque de tomber sur des requins là-bas ?
C’est là (NdlR : St-Gilles) où il y a le plus de requins. Là où il y a eu les dernières attaques. Par rapport aux requins, en discutant avec les autorités, on a fait construire une cage pour l’arrivée. Question sécurité, j’ajouterai que les garde-côtes  de la Réunion vont me rejoindre avec le Centre Régional Opérationnel de la Surveillance et du Sauvetage (CROSS).

 

Quand et où débutera votre traversée ?
Je quitterai Maurice le samedi 12 novembre du Lux* du Morne à 7 heures du matin, le même jour et même lieu où se déroulera l’Indian Ocean Triathlon, organisé par Lux* (NdlR : Lux* Le Morne et Lux* Saint Gilles sont parmi les principaux sponsors de Lilian Eymeric). Je partirai juste avant le départ officiel de natation en triathlon. J’arriverai à la Réunion le lundi 14 novembre.

Parlez-nous de la logistique mise en place durant votre traversée.
Un catamaran sera mis à ma disposition par Jean Pierre Henry de JPH Charters – un de mes sponsors – et me suivra tout le long du trajet. À bord, il y aura un médecin et deux personnes pour le ravitaillement et quatre membres d’équipage. Les garde-côtes mauriciens, eux, m’accompagneront dans les eaux mauriciennes. Dans les eaux françaises, ce sont ceux de la Réunion

qui prendront le relais.

 

Comment allez-vous vous nourrir durant la traversée ?
Le bateau me tendra une perche au bout de laquelle me seront donnés la boisson et le ravitaillement. J’aurai comme alimentation des fruits secs, des abricots, des dattes, des figues, des pistaches mélangées à l’huile de coco et à de l’avocat.

 

Nagerez-vous en combinaison dans l’eau ?
Je serai dans une combinaison de 3 mm d’épaisseur pour me protéger des méduses.

Parlez-nous de votre préparation.
Je me prépare mentalement et physiquement depuis 10 mois. J’ai fait du VTT, de la course à pied, de la musculation. J’ai nagé de longues distances en mer, ainsi que la nuit, en hiver, en piscine, pour m’habituer au froid. J’ai suivi des cours d’auto hypnose avec un médecin suisse pour rester éveillé. Cela me sera utile lorsque je nagerai la nuit sans dormir. Je tiens à préciser que je me suis entraîné avec l’équipe Synergie dont Yannick Lincoln et le docteur Bholah.

 

Pouvez-vous nous donner des exemples des trajets effectués à l’entraînement ?
J’ai eu des séances de 4 heures le matin avec une coupure de midi une heure pour repartir 4 heures dans l’après-midi. Puis 45 minutes en piscine le soir. Le trajet : je partais souvent de Tamarin. Je sortais de la passe puis je partais sur l’île aux Bénitiers en passant par Rivière-Noire ou sinon je prenais à droite et je longeais la barrière de corail jusqu’à Flic-en-Flac. Cela fait environ 16 km aller-retour. De l’autre côté cela fait un peu plus dans les 20 km.

 

Vous aussi pouvez aider les petits diabétiques
La traversée a pour but d’attirer d’éventuels donateurs pour T1 Diams pour obtenir environ Rs 2 millions en faveur des 250 enfants diabétiques de type 1 suivis par l’ONG. Chaque enfant diabétique a besoin de Rs 25 000 par an (environ Rs 2 000 par mois) en termes de soins, d'équipements médicaux entre autres. Les dons peuvent se faire directement au nom de T1 Diams sur le compte Mauritius Commercial Bank portant le numéro : 0000 8105 8810 ou en appelant sur le 696 5877. Pour tout autre renseignement, veuillez contacter Lilian Eymeric sur le 5 935 0445 ou par email : extremetransocean2016@gmail.com

Article paru le 17 novembre 2016
T1 Diams : et de 8 pour le camp diabétique !

 

Guider et encadrer les diabètiques de type 1. C’est la mission de l’association T1 Diams. L’ONG organisait son «camp diabétique» annuel cette semaine. Une soixantaine de personnes y ont participé.

Cela fait dix ans que l’ONG existe. Et huit ans qu’elle organise chaque année un «camp diabétique» pour ses membres, qui ont entre 0 et 30 ans. L’objectif de T1 Diams : faire de l’éducation théra-peutique dans un cadre agréable. Le camp 2015 s’est tenu du lundi 3 au vendredi 7 août au Lady Sushil Ramgoolam Recreational Centre, à Pointe-aux-Piments, et a accueilli une soixantaine de personnes de 12 à 30 ans. Les moins de 12 ans, accompagnés de leurs parents, ont rejoint le camp le jeudi 6 août.

 

Le thème de cette année était «Initiation au comptage des glucides et à l’adaptation des doses d’insuline». Enfants, adolescents et jeunes adultes ont ainsi appris à mieux gérer leur diabète. Pour Coralie Sampson, chargée de communication de T1 Diams, «le camp permet d’identifier tout manquement dans les connaissances et compétences nécessaires à la vie du diabétique de type 1. Durant ce camp, nous avons la possibilité de suivre de près les enfants et de les guider dans leur traitement».

 

Dylan Nepal, 21 ans, est membre de l’association. Ce cuisinier de profession a intégré T1 Diams à l’âge de 13 ans, quand il a découvert qu’il était atteint du diabète de type 1. «Ce camp m’a permis d’être plus responsable. Je m’occupe des plus jeunes depuis des années. L’éducation thérapeutique nous permet d’avoir une alimentation équilibrée», explique-t-il.

 C’est grâce à T1 Diams, soutient le jeune homme, qu’il avance dans la vie : «Je suis maintenant plus indépendant. Les membres de l’association sont comme une famille pour moi.» Les bénéficiaires de T1 Diams sortent plus autonomes du camp diabétique. À l’instar de la petite Eléonore Etienne Larché, 10 ans. La fillette, accompagnée de son père Gilbert, en est à son quatrième camp. «Ce camp m’aide au quotidien. On apprend à contrôler notre diabète. On apprend beaucoup tout en s’amusant», souligne Eléonore.

 

Salonie Gougon, elle, est active depuis cinq ans au sein des camps résidentiels. «Ça a été très difficile au début quand j’ai été diagnostiquée. Les activités au sein de l’association et le soutien des membres m’ont permis d’avancer dans la vie. C’est pour cela qu’aujourd’hui, j’apporte mon appui aux plus jeunes, qui requièrent un accompagnement approprié», explique cette étudiante âgée de 19 ans.

Un vaste programme a été élaboré pour ce camp : éducation thérapeutique avec des thèmes comme Comprendre le corps humain, gestion de l’hypoglycémie et de l’hyperglycémie, adaptation de l’insuline aux activités journalières et aspect essentiel de la nutrition au quotidien, entre autres ateliers. Plusieurs activités physiques ont également été organisées, notamment une randonnée à Bras-d’Eau et une initiation au stand-up paddle dans le lagon de Trou-aux-Biches.

 Par ailleurs, l’association a accueilli une autre ONG, Ki Fer Pas Mwa de Batterie-Cassée. L’objectif étant d’œuvrer pour leurs causes respectives autour d’une activité commune et d’un repas de l’amitié.

 

Des bénévoles en action

Afin d’assurer l’encadrement des bénéficiaires de T1 Diams, des bénévoles ont répondu à l’appel de l’association. Ils évoluent notamment dans les domaines de la médecine, de la psychologie, du social work, de la nutrition, de l’ingénierie, en autres. Parmi eux, il y a Jean-Hugues Lily, 22 ans, qui en est à sa troisième participation au «camp diabétique». Cet ornithologue de la Mauritian Wildlife Foundation, ne sachant pas grand-chose au départ du diabète en général et encore moins du diabète de type 1, a acquis une bonne connaissance de cette maladie grâce aux camps auxquels il a participé en tant qu’animateur.

 

Son aventure avec l’ONG a débuté en 2012. T1 Diams cherchait alors des animateurs pour son camp. Jean-Hugues a été choisi parmi les membres de différents groupes de scouts, parce qu’il  avait montré son intérêt pour T1 Diams et le diabète qui touche bon nombre de Mauriciens. Lors du «camp diabétique», il a acquis des valeurs comme l’esprit d’équipe, tout en en apprenant plus sur la mission de T1 Diams.


Jean-Hugues Lily participait pour la troisième fois au camp diabétique.

«Mon rôle a été de veiller au bon déroulement des activités. Avec les autres bénévoles, nous aidons aussi l’équipe médicale, nous veillons à ce que les enfants s’amusent au camp. Nous sommes à leur écoute et nous avons l’œil sur chacun d’entre eux», explique Jean-Hugues.

Les «camps diabétiques» ont été de grands moments dans la vie du jeune homme.  Il qualifie ses trois participations d’expérience «fraternelle, dense et riche».

Article paru le 02 août 2015
SOCIÉTÉ: T1 Diams fête ses 10 ans

 

T1 Diams se donne pour mission d'apporter un support médical, éducatif, social et psychologique à tous ses bénéficiaires. Pour fêter ses 10 ans d'engagement, d'accompagnement et de soutien aux enfants, adolescents et adultes diabétiques de type1, l'organisation non gouvernementale (ONG) prévoit plusieurs activités étendues sur une année. Abdullah Dustagheer, président de T1 diams, a annoncé le calendrier d'activités de l'association face à la presse la semaine dernière.
Depuis sa création en septembre 2005, T1 Diams milite pour briser les tabous entourant le diabète de type 1. Ainsi, pour ses 10 ans, l'association veut toucher un public plus large et revoit sa campagne de communication. T1 Diams a relancé sa présence sur Facebook avec deux nouvelles pages : une page spécifique pour le grand public avec une mise à jour régulière et un "closed group" pour les membres uniquement, où ces derniers pourront avoir des discussions entre eux ou avec le staff de l'association en toute confidentialité.

Un nouveau site-web sera également lancé en septembre: une vitrine qui fournira des informations et explications sur les projets de l'ONG afin d'encourager des personnes vivant à Maurice ou à l'étranger à les soutenir financièrement. Des Road shows sont planifiées à travers l'île cette année, notamment dans des centres commerciaux, pour faire connaître davantage l'association et expliquer les différences entre le diabète de Type 1 et celui de Type 2. Ceci aidera à diminuer les tabous auxquels les diabétiques de type 1 font face encore dans leur vie de tous les jours.
Dans le cadre de son anniversaire, l'ONG a une nouvelle tagline avec ses principaux objectifs : Care, Empowerment, Peace of Mind. Ces trois axes résument les missions que s'est données T1 Diams auprès de ses bénéficiaires. Ainsi, outre de procurer des soins et matériels médicaux et un soutien psychologique, l'association veut arriver à rendre autonome tous ces jeunes diabétiques afin qu'ils puissent vivre normalement et s'épanouir comme n'importe quel jeune de leur âge.
L'association compte actuellement 2000 likes dans leur page Facebook, qu'elle veut convertir en "Friends of T1 Diams" réels. Ce sont des volontaires qui pourront les aider à réaliser leurs projets soit en participant aux différentes activités : journées thérapeutiques, camps diabétiques, quêtes, salons, etc., soit en soutenant l'organisation à travers des dons en espèces ou en nature.

Selon Abdullah Dustagheer, président de T1 diams, le budget annuel de l'ONG s'élève à Rs 6 millions annuellement, pour l'organisation de ses activités et pour les services offerts. "C'est Rs 25,000 par enfant annuellement. Nous avons besoin du soutien de tout le monde, que ce soit des volontaires, ou des dons en espèces, ou en nature", dit-il. Dans le cadre de son 8e Camp Diabétique annuel, commençant le 3 août prochain, T1 Diams organise un Open Day pour que tous ses collaborateurs et financeurs aient l'occasion de redécouvrir le travail accompli au cours de ces 10 dernières années.
Lilian Eymeric, qui a fait le tour de l'île à la nage l'année dernière ("Un homme, un Défi, une Association") pour soutenir T1 Diams, se lancera dans un nouveau défi nautique en septembre. Une "Family Bingo Night" aura lieu le 12 septembre au collège St Mary's et en novembre, aura lieu un "Medical Update Group" sur le thème de la prise en charge optimale du diabète de type 1 et un dîner de charité pour financer les activités de l'association.

Article paru le 02 août 2015
Diabète: une série d’activités pour les 10 ans de T1 Diams

L’équipe de l’ONG T1 Diams compte bien marquer d'une pierre blanche ses 10 ans d’existence.

Dix années que l’Organisation non gouvernementale (ONG) T1 Diams accompagne et soutient les enfants, adolescents et adultes atteints de diabète de type 1. Pour l’occasion, elle compte marquer l’événement par une série d’activités qui a déjà débuté en juillet et qui s’étalera jusqu’en décembre. Ces activités auront pour but de conscientiser le public sur l'importance des besoins de l’association afin de mener à bien ses projets.

Pour commencer, T1 Diams a relancé, il y a peu, sa présence sur Facebook en créant deux nouvelles pages destinées au grand public et aux membres du groupe respectivement. Toujours sur Internet, le lancement du nouveau site Web a aussi été annoncé pour septembre. Celui-ci devrait expliquer les projets de l’ONG afin d’encourager les soutiens financiers.

Des road shows à travers l’île sont également au programme. Le but est de faire connaître l’association et sensibiliser la population quant au diabète de type 1 et de type 2. Cela devrait notamment aider à diminuer les tabous auxquels font face les diabétiques au quotidien.

T1 Diams espère aussi convertir ses 2 000 likes de Facebook en Friends of T1 Diams réels. Ces derniers seront invités à apporter leur aide pour la réalisation des projets de l’association tels que les journées thérapeutiques, les camps diabétiques, quêtes et salons, entre autres. Ils pourront également contribuer à travers des dons.

Camp diabétique le 3 août

Le travail acharné accompli en 10 ans sera mis en avant lors du 8e Camp diabétique. En effet, un Open Day sera organisé qui l’occasion pour les collaborateurs et financeurs de prendre connaissance du parcours de l’ONG. Le camp, qui est organisé selon une fréquence annuelle, débutera le 3 août.

Début septembre, c’est un Family Bingo Night au collège St Mary’s qui fera le plaisir des membres et collaborateurs. Ensuite, durant le même mois, un atelier de travail aura lieu afin de mettre en place le Roadmap de l’association couvrant les prochaines trois années.

Septembre sera aussi marqué par un nouveau défi de Lilian Eymeric qui compte réitérer son exploit de l’an dernier : celui de faire le tour de l’île à la nage. Le but de ce défi nautique est de récolter des fonds pour l’association.

En novembre, en sus du Road show, un Medical Update Group viendra s’ajouter au Blue Mode, organisé dans le cadre de la Journée mondiale du diabète. Un dîner de charité devrait également aider à récolter des fonds.

Enfin, pour clore la série d’activités, T1 Diams tiendra son Flag Day les 19, 20 et 21 décembre, ont-ils annoncé.

Article paru le 01 août 2015
T1 Diams en balade dans l`Est

Pour sa quatrième édition de T1 Diams en Balade, l`association qui soutient les diabétiques de Type 1 s`est rendu dans l`est plus précisément au club House d`Alteo Ltd à Fuel le 26 Octobre 2014 avec une soixantaine de membres diabétiques de Type 1.


T1 Diams en ballade

L`objectif était de rassembler les membres de différentes régions (Nord, Est et Centre) pour une journée d`éducation thérapeutique ainsi que de s`amuser ensemble tout en améliorant leur connaissance sur leur condition de santé.

 

Le Dr. Mahadeb Yovan, diabétologue présent lors de l`événement a profité pour donner des conseils sur comment adapter l`nsuline dans la vie quotidienne d`une personne diabétiques de Type 1.Il a ainsi fait part qu`il est très important pour chaque repas d`ajuster son insuline en fonction de ce que contient l`assiette du diabétique.

 

Pendant la journée, les bénéficiaires et famille ont pu également profiter des conseils personnalisés de la diététicienne Mlle Teenusha Soobrah. Elle a expliqué le contenu des repas pendant la journée et a répondu aux questions des membres sur l`alimentation.

 

Après le déjeuner les membres ont participé a un ‘Giant Musical Chair’ avec plus d`une cinquantaine de membres.Le Dr. (Pre-reg) Pravesh Guness qui est aussi membres du comité de T1 Diams a été le grand gagnant de cette activité.

 

M. Mario Antonio, responsable de Resource Humaine et Communication souligne qu`Alteo a apporté son soutiens à T1 Diams en rendant disponsible son local et souhaite de nouveau soutenir l`association dans le future pour d`autres activités et même pourrait collaborer sur d`autres projets’